Je me souviens

Je me souviens avoir vu Mickey 3D à mes 12 ans, il me semble. Et je me souviens ne pas avoir apprécié les bousculades...

Je me souviens du jour suivant mon brevet. Je me souviens être allé à Düsseldorf (qui est à plus ou moins égale distance de Paris en kilomètre, mais pas en temps). Et je me souviens de cette salle immense qui n'était pas moins qu'une arène (donc un stade pour nous) de 50 000 places, de ce mini-festival de sept heures éprouvant pour les jambes, et du fait que je croyais voir des dieux en face de moi... Linkin park.

Je me souviens également de Stuttgart, aussi loin que Nancy d'ici. Je me souviens avoir vu au plus prêt les membres de linkin park, étant dans le groupe restreint de personnes tout à l'avant de la scène. Je me souviens avoir failli ne pas passer, au grand damne de ceux qui étaient avec moi. Je me souviens aussi d'un des plus grands moments de ma vie. Et je me souviens avoir souri en voyant ce couple d'allemand au début coincé, l'air de ne pas savoir où ils sont tombés, et sautant sur la fin, en voyant les frenchies à côté s'éclater.

Je me souviens de plusieurs autres encore, mais en dire plus n'est pas une nécessité. La magie de ce que nous apprécions n'est pas descriptible par quelques mots, même les mieux choisis.